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Bénin (Koussoucoingou) - Expertise pour l’alimentation en eau

Bénin (Koussoucoingou) - Expertise pour l’alimentation en eau

L’AEREB (Association Européenne des Rives de l’Etang de Berre), une ONG française, et Eco-Bénin, ONG béninoise spécialisée dans le développement de l’éco-tourisme, œuvrent depuis 4 ans au développement de plusieurs villages de l’Atakora au Nord du Bénin. A ce titre, elles ont sollicité l’expertise d’Aquassistance pour réaliser une étude préliminaire d’un projet d’adduction d’eau sur le village de Koussoucoingou.

  • Un village en pleine croissance grâce à l’écotourisme

Koussoucoingou, dont la population est estimée à 370 habitants, jouit d’une situation privilégiée au milieu de l’Atakora, comme ville étape entre Natitingou et Boukombé. Peuplé majoritairement par les Bétammaribés venant du Burkina-Faso, Koussoucoingou axe son développement sur la valorisation de son patrimoine somba et en particulier des habitations fortifiées en banco appelées « tata-somba ». Le village est dans une phase de développement lié à l’éco-tourisme grâce à une « tata hôtel », une buvette et un bureau des guides pour assurer la visite du pays somba. Ces activités ont permis la réalisation d’un internat pour l’école, d’un marché ou encore la modernisation du dispensaire.

  • Un accès limité à l’eau, une ressource de mauvaise qualité

Malgré le fort développement actuel, l’accès à l’eau est très limité y compris dans le cœur du village. Outre un forage privé qui assure les besoins du dispensaire, le village est alimenté par deux forages équipés de pompe à motricité humaine (PMH) et d’un puits. Les PMH présentent des défauts d’entretien qui limitent fortement leur usage (étanchéité déficiente, joints cassés). Le puits constitue dans ces conditions le point d’eau majoritaire du village. Et pourtant il présente des pollutions bactériologiques d’origine animale en raison de sa situation à l’aval du village, sur un lieu de regroupement naturel du bétail et de sa proximité immédiate avec la nappe.

  • Plusieurs projets possibles d’adduction villageoise

Dans le cadre de la mission d’Aquassistance, trois projets d’adduction d’eau villageoise ont été proposés : le premier s’appuie sur la réutilisation des deux forages du centre du village pour alimenter un château d’eau de 30m3 à construire qui alimenterait un réseau de bornes fontaines, le second est basé sur l’exploitation d’un forage situé à 2 kilomètres du village présentant une forte productivité, pour alimenter un château d’eau puis les bornes fontaines du village et le dernier consiste en la réalisation d’un nouveau forage dans un talweg à proximité immédiate du village pour alimenter un château d’eau puis les bornes fontaines du village.

  • La mise en place de structures locales de gestion comme étape indispensable

La réalisation d’une infrastructure d’adduction d’eau doit cependant intervenir en parallèle du renforcement des capacités de la maîtrise d’ouvrage. En effet, depuis la loi de décentralisation de 1999 au Bénin, les communes héritent de la plupart des responsabilités en matière de production et de distribution d’eau. Or en zone rurale, elles semblent encore largement désarmées pour assurer cette tâche complexe et onéreuse, comme en témoignent les deux PMH cassées de Koussoucoingou. En réponse à ce problème, les communes rurales sont déterminées à créer des affermages privés constitués d’une ou quelques personnes pour assurer l’exploitation courante des ouvrages. Cette démarche doit être encouragée et accélérée avant la construction de nouvelles infrastructures.

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