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Mali (Kolokani) – Bilan de l’approvisionnement en eau de 15 villages

Mali (Kolokani) – Bilan de l’approvisionnement en eau de 15 villages

Mathilde Le Roux, ingénieure à la SEAAL (Société des Eaux et de l’Assainissement d’Alger), est allée en novembre dernier à Kolokani pour préparer la réception définitive de 15 forages réalisés par Aquassistance et surtout, rendre visite aux Comités de Gestion des Points d’Eau (CPGE) afin de faire un premier état des lieux de leur fonctionnement.

Le Cercle de Kolokani (équivalent d’un département) est situé au nord de Bamako. Il comprend 200 000 habitants répartis en 10 communes regroupant 285 villages. Il est jumelé à la ville de Viroflay depuis 30 ans, et c’est le comité de jumelage qui a sollicité Aquassistance en 2007 pour réaliser des forages dans des villages du cercle. Le projet a été principalement financé par le Syndicat des Eaux d’Ile de France (SEDIF).

Un de ses objectifs majeurs étant d’assurer la pérennité du point d’eau, une participation a également été demandée aux villages afin qu’ils s’impliquent ensuite davantage dans l’entretien des pompes. D’autre part, le choix des sites des forages s’est appuyé non seulement sur des missions d’un hydrogéologue d’Aquassistance mais également sur des études socioéconomiques réalisées par un bureau d’études local. Enfin, le projet a intégré la constitution, après réalisation des pompes, des comités de gestion dans les villages pour gérer la pompe. C’est ainsi que 15 forages ont été réalisés et équipés en 2009, puis les comités de gestion créés. Certains villages ont réussi brillamment l’exercice et ont dépassé nos attentes : une fontainière rémunérée, un comité de gestion très dynamique et un compte livret bien rempli permettant notamment la participation à un nouveau projet de forage ! Pour d’autres, il reste du chemin à parcourir. Cette mission a permis de redynamiser l’organisation des comités, mais aussi de mettre en évidence les facteurs à prendre en compte pour l’implantation et la gestion d’un forage.

Il apparaît que, pour beaucoup de villages, la mise en œuvre d’un comité de gestion n’est pas aisée car il arrive que personne ne sache lire et écrire pour tenir à jour le livre de compte par exemple. D’autre part, les messages de sensibilisation pour l’utilisation de l’eau des forages (versus l’eau des puits, parfois infectée) ont parfois du mal à passer : il faut maintenant faire plusieurs kilomètres pour avoir de l’eau propre alors que le puits est dans la cour… Un accompagnement apparaît nécessaire pour les appuyer au quotidien et sur le long terme. Mais qui peut assurer cet accompagnement dans l’État décentralisé du Mali ? Les communes, responsables de la distribution de l’eau sur leur territoire semblent encore bien peu armées pour répondre aux besoins, tant en termes de compétences qu’en termes de moyens. Le Cercle ne peut avoir qu’un rôle d’accompagnement et d’harmonisation, basé sur la bonne volonté des élus.

La solution ne peut venir que de l’intérieur : il faut réussir à mobiliser les compétences locales pour diffuser les bonnes pratiques. Qui, mieux qu’un Malien, peut expliquer à un autre Malien les atouts d’un forage et ses règles de gestion ? Vu les fabuleux efforts faits dans certains villages, il faut utiliser ces exemples pour former les villages les plus en difficulté. Sous peine de voir certains points d’eau péricliter et tomber à l’abandon. Il serait dommage de s’arrêter là.

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